[ 4 février 2020 ] La Métropole ne peut pas laisser Marseille en totale déshérence

[ 4 février 2020 ] La Métropole ne peut pas laisser Marseille en totale déshérence

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« La Métropole ne peut pas laisser Marseille en totale déshérence »

Depuis des semaines, depuis des mois, je me sens bien seul pour faire respecter l’équité en matière de campagne électorale. Et plus globalement de code électoral.

La démocratie, si fragile, mérite que l’on fasse preuve de vérité, de rigueur morale, d’éthique dans la gestion de l’argent public. Et de responsabilité dans la bonne marche de Marseille.
Sous peine de prendre le risque de voir les extrêmes s’emparer du pouvoir sous le coup de la colère, de l’incompréhension, de la misère.

A Marseille, la campagne municipale se déroule dans un climat détestable, délétère, et souvent irresponsable. Du jamais-vu.

Alors oui, je me réjouis que le candidat EELV Sébastien Barles ait publié cette lettre à destination de Martine Vassal, présidente du Département, présidente de la Métropole et candidate à la mairie de Marseille.
Visiblement, elle ne peut plus tout faire et les Marseillais commencent à le voir. Et surtout à en souffrir.

Les rues dégueulent d’ordures. Je ne trouve pas d’autre verbe pour exprimer la situation. L’image est dramatique. Le quotidien insupportable.

Alors oui, je suis bien seul depuis des mois pour affirmer que Marseille mérite un maire à temps plein, uniquement consacré à la gestion de la Ville, à ses crises et ses besoins.

Marseille ne peut pas être géré entre deux commissions sur le territoire et deux vidéos Instagram.

D’autres, qui se sont engagés dans cette campagne, se sont mis en retrait de leurs responsabilités : Johan Bencivenga de l’UPE 13 ou Alain Gargani pour la CPME 13.

Je le dis une nouvelle fois clairement, Martine Vassal doit se consacrer entièrement, exclusivement à la mission pour laquelle elle a été élue, au Département et à la Métropole. La Métropole et ses complexités a également besoin d’une présidence à temps plein.

Les Marseillais ne veulent plus avoir à subir l’état d’une ville en totale déshérence. Il faut aller vite.

La présidente de la Métropole doit rendre aux Marseillais, aux visiteurs, aux commerçants, à la population dans son ensemble, des rues propres et dignes de la deuxième ville de France.

Le temps pour elle n’est pas à la campagne municipale, mais au travail. C’est ce que la population exige.

Bruno GILLES

Depuis des semaines, depuis des mois, je me sens bien seul pour faire respecter l’équité en matière de campagne électorale. Et plus globalement de code électoral.

La démocratie, si fragile, mérite que l’on fasse preuve de vérité, de rigueur morale, d’éthique dans la gestion de l’argent public. Et de responsabilité dans la bonne marche de Marseille.
Sous peine de prendre le risque de voir les extrêmes s’emparer du pouvoir sous le coup de la colère, de l’incompréhension, de la misère.

A Marseille, la campagne municipale se déroule dans un climat détestable, délétère, et souvent irresponsable. Du jamais-vu.

Alors oui, je me réjouis que le candidat EELV Sébastien Barles ait publié cette lettre à destination de Martine Vassal, présidente du Département, présidente de la Métropole et candidate à la mairie de Marseille.
Visiblement, elle ne peut plus tout faire et les Marseillais commencent à le voir. Et surtout à en souffrir.

Les rues dégueulent d’ordures. Je ne trouve pas d’autre verbe pour exprimer la situation. L’image est dramatique. Le quotidien insupportable.

Alors oui, je suis bien seul depuis des mois pour affirmer que Marseille mérite un maire à temps plein, uniquement consacré à la gestion de la Ville, à ses crises et ses besoins.

Marseille ne peut pas être géré entre deux commissions sur le territoire et deux vidéos Instagram.

D’autres, qui se sont engagés dans cette campagne, se sont mis en retrait de leurs responsabilités : Johan Bencivenga de l’UPE 13 ou Alain Gargani pour la CPME 13.

Je le dis une nouvelle fois clairement, Martine Vassal doit se consacrer entièrement, exclusivement à la mission pour laquelle elle a été élue, au Département et à la Métropole. La Métropole et ses complexités a également besoin d’une présidence à temps plein.

Les Marseillais ne veulent plus avoir à subir l’état d’une ville en totale déshérence. Il faut aller vite.

La présidente de la Métropole doit rendre aux Marseillais, aux visiteurs, aux commerçants, à la population dans son ensemble, des rues propres et dignes de la deuxième ville de France.

Le temps pour elle n’est pas à la campagne municipale, mais au travail. C’est ce que la population exige.

Bruno GILLES