Façades, vitrines et magnifiques portes recouvertes de graffitis… que comptez-vous faire ? Isaac J.

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Notre réponse :

[/vc_column_text][vc_column_text]Ces derniers mois ont heureusement été marqué par une amélioration de la propreté dans les rues de Marseille, notamment en centre-ville grâce à de nouveaux opérateurs. Il faut faire mieux encore et n’oublier aucun quartier de notre ville. Il en va de la qualité de vie des marseillais, de la santé publique et de l’image de notre ville.

Un travail main dans la main avec la Métropole est nécessaire pour faire disparaître les poubelles qui débordent, les emballages plastiques qui souillent les trottoirs et la méditerranée. Je m’engagerai fortement sur cette question.

La politique de lutte contre le graffiti sauvage est difficile à rendre efficace, car elle est doit être permanente et donc coûteuse. Il s’agit à la fois de lutter avec fermeté contre ces incivilités inacceptables et dans le même temps de favoriser les expressions artistiques vraies sur des sites choisis.

Il faut à la fois sanctionner, développer des solutions techniques innovantes, rénover là où c’est nécessaire et favoriser un retour des activités commerciales, des services et des commerces par des mesures incitatives, notamment fiscales, qui stimulent et dynamisent les quartiers impactés. Je travaille sur des mesures concrètes qui vont dans ce sens.

L’exemple de New York est à ce titre intéressant, certains quartiers ont été revitalisés grâce aux commerces, faisant ainsi reculer la petite délinquance.

Sur chaque thématique des propositions détaillées et chiffrées seront faites. Mon équipe et moi-même travaillons avec 90 experts de la société civile, mais aussi des groupes de travail d’hommes et de femmes engagés, afin de réfléchir, proposer des mesures concrètes, un contrat pour Marseille et les marseillais, une vision à court et moyen termes.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]